De mercredi à samedi j'ai fait des nuits.
Mercredi soir rien de spécial sauf que... encore un porte central au CHU cette fois pour Windsor.
Jeudi ou plutôt vendredi matin: "le 49, les quatre-bars". Ho! Ça doît être le vieux ça... Bien oui le vieux qui reste au foyer à Weedon qui sort de là dedans quel belle fin de soirée même si les routes sont un "tantinet" glissantes par la bas je me réjouit de ce dernier voyage.
Vendredi assez calme, quelque collègues qui chialent comme toujours qu'il n'y a plus d'ouvrage comme dans le temps... c'est vrai que c'est tranquille mais j'ai tout de même fini la nuit dans mes chiffres habituelle. Ça c'est grâce à la maladie du dernier "call". Je commençait à être pas mal fatigué vue le manque de travaille alors je me suis dit que c'était le dernier pour ce soir. Environ 3h15 du matin alors le répartiteur m'envoit au Loubar. Arrivé la bas, deux femmes sortent et m'indiquent qu'elles monte dans le haut de l'ouest. À destination, je me dit bon "let's go" je vais porter la voiture à mon chauffeur de jour qui reste à Rock-Fo. Je prend le boul. Université, St-Rock et comme j'arrive dans le vieux village, le "dispatch" demande pour le secteur. J'ai un spasme au doigt et je répond. Il m'envoit pas loin mais la fille elle va loin. Un coup la job fini, je prend mon courage et je remonte. Retraverse la ville au complet, King, Bourque, Kennedy... oups encore le foutu répartiteur pour ce secteur. Et mon syndrome de Tourette qui reprend et je me rapporte. Cette fois la fille va moins loins mais c'est bon car je peux retourner chez mon employer plus vite. Finalement, en arrivant chez lui il était déjà debout 4h30 du matin en train de regarder la T.V. On a jasé un peu mais j'était pressé d'aller me coucher.
Samedi normal. Des sorties dans les bars, quelques énergumènes dans les rues mais pas trop. Un party de fin de semaine de relache dans un sous-sol d'église, des jeunes se tappent dessu, la police débarque (2 camions, 5 voitures) et on récolte ce qui reste.
Dimanche soir l'auto a dormi et moi j'ai relaxé.
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4 commentaires:
C'est comme au bar quand il est temps de partir,,,,,; celui-là,un dernier, un autre, pis on y va ;-)
Mike
J'ai cru me voir assis dans ton taxi, Joc. Tu sembles aussi faire pas mal de millage dans ton coin, un peu comme moi dans le mien en fait.
À Boucherville, la nuit (partir de 20h00), on a qu'un seul poste et il couvre toute la ville... Pas des farces, j'te dis! Alors imagines-toi que tu roules des 5 kms (aller seulement) pour prendre un client dans un bar et qu'une fois rendu devant la porte, celui-ci ne se pointe pas... No load. Et chez moi, on en fait souvent.
Pas compliqué. On fait des changements d'huile au deux semaines, max un mois...
@+ Joc!
En passant, le lien « À bord du 558» n'existe plus. Voici le nouveau -> Un taxi sur la Rive-Sud
J-F
Les collègues qui chialent qu'il n'y a pas d'ouvrage comme dans le temps, ici en Helvétie c'est tout pareil. Mais ils ne bougent pas leur cul de la gare, à attendre le client comme le Messie à la descente du train, en rangs d'oignons...
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